POUR UNE RESPONSABILITE SOCIALE ACCRUE

Le Cameroun compte à nos jours plus de 200.000 PME dispersées dans tout le territoire national, ce qui représente plus de 96% du tissu économique camerounais. En marge des PME, il y a un secteur très important qui est celui de l’informel bien qu’il soit un maillon fort de l’économie, il n’impacte pas valablement sur l’épanouissement des familles.

La préoccupation actuelle du Gouvernement qui est de faire des Collectivités Territoriale Décentralisées des véritables pôles de développement de l’économie nationale. passe principalement par l’encouragement de l’entrepreneuriat locale. D’où la multiplication des programmes de soutien et de formation y afférents, des microentreprises et projet voient donc le jour. L’intérêt des pouvoirs publics pour les mesures destinées à stimuler l’esprit d’entreprise, s’explique pour une bonne partie, par la conviction que la création d’entreprises va contribuer à la réalisation d’objectifs économiques et sociaux important.

Conscient des éléments énoncés en amont, nous avons pris l’initiative de créer un Groupement Patronal des Entreprises et de Territoires, afin d’apporter des solutions idoines et répondre durablement et efficacement à la problématique du développement économique de nos localités, impulsés par les entreprises.

Le Groupement patronal Entreprises et Territoires, suivant la logique de ses prédécesseurs que sont : le GICAM, MECAM, ECAM…, a toute de même la particularité de prioriser et d’accompagner les TPE et les PME, dans leur participation au développement des territoires. De plus, il s’agira davantage de créer un environnement idoine au foisonnement et à la valorisation des ressources domestiques des territoires.

Cela aura pour effet de réduire les importations de produits étrangers, car nous pouvons transformer et consommer ce que nous produisons, le coût de la vie se verrait réduit, y compris les importations qui seraient alors substitués par les produits et productions locaux. Dans le même temps, cette stratégie visera à faire émerger les potentialités techniques nationales dans des domaines assez variés auxquels se greffent principalement l’informel.      

POUR UNE RESPONSABILITE SOCIALE ACCRUE

Le Cameroun compte à nos jours plus de 200.000 PME dispersées dans tout le territoire national, ce qui représente plus de 96% du tissu économique camerounais. En marge des PME, il y a un secteur très important qui est celui de l’informel bien qu’il soit un maillon fort de l’économie, il n’impacte pas valablement sur l’épanouissement des familles.

La préoccupation actuelle du Gouvernement qui est de faire des Collectivités Territoriale Décentralisées des véritables pôles de développement de l’économie nationale. passe principalement par l’encouragement de l’entrepreneuriat locale. D’où la multiplication des programmes de soutien et de formation y afférents, des microentreprises et projet voient donc le jour. L’intérêt des pouvoirs publics pour les mesures destinées à stimuler l’esprit d’entreprise, s’explique pour une bonne partie, par la conviction que la création d’entreprises va contribuer à la réalisation d’objectifs économiques et sociaux important.

Conscient des éléments énoncés en amont, nous avons pris l’initiative de créer un Groupement Patronal des Entreprises et de Territoires, afin d’apporter des solutions idoines et répondre durablement et efficacement à la problématique du développement économique de nos localités, impulsés par les entreprises.

Le Groupement patronal Entreprises et Territoires, suivant la logique de ses prédécesseurs que sont : le GICAM, MECAM, ECAM…, a toute de même la particularité de prioriser et d’accompagner les TPE et les PME, dans leur participation au développement des territoires. De plus, il s’agira davantage de créer un environnement idoine au foisonnement et à la valorisation des ressources domestiques des territoires.

Cela aura pour effet de réduire les importations de produits étrangers, car nous pouvons transformer et consommer ce que nous produisons, le coût de la vie se verrait réduit, y compris les importations qui seraient alors substitués par les produits et productions locaux. Dans le même temps, cette stratégie visera à faire émerger les potentialités techniques nationales dans des domaines assez variés auxquels se greffent principalement l’informel.    

POUR UNE RESPONSABILITE SOCIALE ACCRUE

Le Cameroun compte à nos jours plus de 200.000 PME dispersées dans tout le territoire national, ce qui représente plus de 96% du tissu économique camerounais. En marge des PME, il y a un secteur très important qui est celui de l’informel bien qu’il soit un maillon fort de l’économie, il n’impacte pas valablement sur l’épanouissement des familles.

La préoccupation actuelle du Gouvernement qui est de faire des Collectivités Territoriale Décentralisées des véritables pôles de développement de l’économie nationale. passe principalement par l’encouragement de l’entrepreneuriat locale. D’où la multiplication des programmes de soutien et de formation y afférents, des microentreprises et projet voient donc le jour. L’intérêt des pouvoirs publics pour les mesures destinées à stimuler l’esprit d’entreprise, s’explique pour une bonne partie, par la conviction que la création d’entreprises va contribuer à la réalisation d’objectifs économiques et sociaux important.

Conscient des éléments énoncés en amont, nous avons pris l’initiative de créer un Groupement Patronal des Entreprises et de Territoires, afin d’apporter des solutions idoines et répondre durablement et efficacement à la problématique du développement économique de nos localités, impulsés par les entreprises.

Le Groupement patronal Entreprises et Territoires, suivant la logique de ses prédécesseurs que sont : le GICAM, MECAM, ECAM…, a toute de même la particularité de prioriser et d’accompagner les TPE et les PME, dans leur participation au développement des territoires. De plus, il s’agira davantage de créer un environnement idoine au foisonnement et à la valorisation des ressources domestiques des territoires.

Cela aura pour effet de réduire les importations de produits étrangers, car nous pouvons transformer et consommer ce que nous produisons, le coût de la vie se verrait réduit, y compris les importations qui seraient alors substitués par les produits et productions locaux. Dans le même temps, cette stratégie visera à faire émerger les potentialités techniques nationales dans des domaines assez variés auxquels se greffent principalement l’informel.